C'est aussi la nostalgie qui s'invite à cette évocation.
Lorsque nous étions enfants... hier... nous savions bien que Maman n'oublierait cette date pour rien au monde malgré toutes ses occupations.
Chez nous, dans le sud Deux-Sèvres, c'étaient les tortisseaux toujours bien ventrus mais très légers puisque le ventre était creux jusqu'à ce que nous le garnissions de confiture. Rien qu'en évoquant ce souvenir, je salive et je sens l'odeur de la friture.
Les années ont passé... je n'ai jamais demandé la recette à Maman... et aujourd'hui c'est trop tard!
Peut-être n'avait-elle pas de recette car, à cette époque, je ne l'ai jamais vue peser un kilo de farine ou mesurer un litre de lait. Elle cuisinait beaucoup de façon innée.
Pas question pour moi
de chercher une imitation de recette
et pourtant on en trouve beaucoup sous le nom de tourtisseaux.
Aujourd'hui, je préfère me tourner vers une autre gourmandise du même genre qui, elle aussi, est rattachée à un beau souvenir: les merveilles de Hélène. Je revois encore mon amie, Hélène, arriver à Patch'Magnac un jeudi matin avec sa fournée de merveilles encore tièdes.
Une image symbole de notre amitié
Ces petits beignets changent d'appellation selon les régions. Nos voisins, les Bordelais préfèrent les merveilles, les Lyonnais ne parlent que de bugnes et je suis certaine que là où vous habitez vous les connaissez encore sous d'autres noms.
Si la forme varie, les ingrédients de base et le mode de cuisson sont pratiquement identiques: de la farine, des œufs,du beurre (d'Echiré bien sûr)et du lait... entier de préférence. La levure de boulanger ou chimique donne le beau ventre et quelques gouttes d'eau de vie typique de la région ou un autre parfum personnalisent ces petites friandises.
J'aimerais bien vous offrir quelques merveilles
mais je sais qu'elles ne franchiront pas l'écran,
alors je ne peux que partager la recette originale
La météo annonce un mois de gelées terribles. Tant que dure l’hiver, que ces centres subsistent, devant leurs frères mourant de misère, une seule opinion doit exister entre hommes : la volonté de rendre impossible que cela dure.
Je vous prie, aimons-nous assez tout de suite pour faire cela. Que tant de douleur nous ait rendu cette chose merveilleuse : l’âme commune de la France. Merci !
Chacun de nous peut venir en aide aux « sans abri ».
Il y a quelques semaines, la météo était un peu plus en accord avec la saison.
Pendant quelques jours, le thermomètre était légèrement en-dessous de zéro, ce qui a permis la formation d'une très fine couche de glace sur les eaux stagnantes.
En me promenant autour de l'étang, mon œil a été attiré par ce triangle de glace qui se détachait du reste.
Non... je n'ai pas retouché les couleurs!
Si vous voulez voir comment les autres concurrent.es affrontent le FROID, je vous donne rendez-vous Du côté de chez Ma'.
Depuis que j'ai découvert cette tradition, grâce à Verveine & Lin, mon petit mobile ne me quitte plus.
Le jour de la marmotte (Groundhog Day) est un événement célébré en Amérique du Nord le jour de la Chandeleur, soit le 2 février. Selon la tradition, ce jour-là, on doit observer l'entrée du terrier d'une marmotte. Si elle émerge et ne voit pas son ombre parce que le temps est nuageux, l'hiver laissera bientôt place au printemps. En revanche, si elle voit son ombre parce que le temps est lumineux et clair, elle sera effrayée et se réfugiera de nouveau dans son trou, et l'hiver continuera pendant six semaines supplémentaires.
Toutefois, je ne faillirai pas à la tradition de la Chandeleur.
Avant de revenir au patch et après l'Aventure de Martinou, voici une nouvelle histoire écrite par Tit'Marmotte mais cette fois elle n'a fait que rapporter ce qu'elle a entendu lors d'une visite que je vous raconterai prochainement.
Lisez bien jusqu'à la fin pour découvrir la question qu'elle vous pose.
Il était une fois, un roi qui avait une fille.
Un jour, elle tomba gravement malade.
Le roi était bien embarrassé, il voulait guérir sa fille.
Alors il demanda à tous les médecins du palais
de la guérir mais aucun n'y parvint.
Il déclara alors :
« Celui qui parviendra à guérir ma fille
l'aura comme épouse ! »
Un jeune berger qui était follement amoureux de la jeune fille
mais qui se disait toujours
« Je ne parviendrai jamais à épouser la princesse »
pensa que c'était l'occasion rêvée.
Il se prépara alors à partir
pour prendre du lait à la chèvre aux cornes d'or.
Mais cette chèvre se trouvait très loin du palais ;
alors il lui fallut faire une très longue route.
Arrivé devant la chèvre,
il prit un peu de son lait et fit la route du retour
qui, ne l'oublions pas, était très longue.
Et qui dit lait qui voyage longtemps, dit lait caillé !
Eh oui ! Vous l'avez deviné, le lait a caillé !
Embarrassé, le pauvre berger décida de faire un gâteau avec.
Il se rendit alors compte, qu'il était tout sale !
« Je ne peux pas me présenter à la princesse comme ça ! »
se dit-il.
Il alla donc se laver
mais le temps qu'il se lave, le gâteau brûla.
Le jeune berger pensa qu'il valait mieux le donner comme ça
que de refaire toute la route.
Il se rendit donc au palais et en donna une part à la princesse.
Celle-ci guérit et promesse tenue par le roi,
elle se maria avec le berger.
Bien sûr, vous connaissez la suite.
C'est ça ! Ils eurent beaucoup d'enfants.
Depuis, ce gâteau est devenu très célèbre dans le pays.
avec qui nous avons passé beaucoup de temps cet été
et qui va franchir le cap du Cours moyen.
Une pensée également pour Rémi,
le plus jeune de mes neveux,
qui lui, quitte ses parents
pour une grande école dans une grande ville.
Et une pensée pour tous ceux qui reprennent le chemin de l'école!
C'est aussi la rentrée pour Marmotte
qui a délaissé son Terrier pendant plusieurs semaines
mais n'est pas restée inactive pour autant.
J'ai une multitude de choses à vous raconter dans les semaines à venir mais je voudrais commencer par vous inviter à visiter le blog de La Ruche des Quilteuses. Katell lance un projet qui ne devrait pas laisser indifférentes les quilteuses que nous sommes!