Après les lettres, Claude nous demande une carte de vœux.
Je ferai encore mon indisciplinée en ne montrant pas UNE mais DOUZE cartes de vœux... et des cartes de vœux pas tout à fait traditionnelles!
Douze arbres remarquables des Deux-Sèvres... l'un d'eux me tenant particulièrement à cœur.
Si vous visitez régulièrement mon Terrier, vous vous souvenez sans doute que j'ai placé cette année 2020 sous le signe de l'arbre pour de multiples raisons que j'expliquais ici .
Récemment, Launisa me demandait d'autres photos d'arbres. Là voilà comblée, j'espère, avec toutes ces trognes!
Ces cartes postales sont éditées par DSNE. Elles devaient être mises en vente lors du 36e FIFO mais le sort en a décidé autrement. Elles sont désormais disponibles auprès de cette association. Si elles vous intéressent, laissez-moi un message.
En ce 6e jour du calendrier de l'Avent initié par Claude, je pourrais vous montrer une lettre ou plus exactement une enveloppe que beaucoup de philatélistes m'envient mais je l'ai déjà fait ici.
Cette année, je n'en recevrai pas...
La boîte aux lettres postales du Terrier n'a rien d'esthétique. Alors que choisir?
Pourquoi pas cette "boîte aux lettres"
qui renferme un énorme trésor?
Ce sont toutes les jolies missives bien décorées, les cartes de vœux textiles, les enveloppes brodées et les mots doux adressés par les adhérentes de France Patchwork lorsque j'ai quitté la délégation.
Je crois que si je devais n'emporter qu'une seule chose sur une île déserte, ce serait cette boîte afin de me remémorer tous nos merveilleux souvenirs.
Allons vite ouvrir la boîte aux lettres de Scap à Puy
mais aussi celle de Manu qui vient de nous rejoindre.
En fouillant mes photos pour dénicher celle du lever de soleil au Piton des Neiges, j'ai trouvé celle-ci qui illustre bien le thème du jour.
Cette photo a été prise à Cilaos, la veille de notre escapade au Piton des Neiges. Ce lieu, la Mare à Joncs a un côté davantage asiatique, voire japonais que réunionnais. L'effet est sans doute accentué par ces lumières assez exceptionnelles juste après une averse tropicale.
Je suis bien consciente que nul n'est besoin d'aller aussi loin pour avoir de belles lumières. Hier, par exemple, j'aurais pu vous faire partager une lumière matinale que j'aime beaucoup lorsque la brume se dissipe sur notre paysage de bocage mais je n'ai pas eu l'opportunité de faire une photo adéquate.
J'avoue, bien humblement que j'ai emprunté celle-ci à notre ami avec qui nous partagions ce beau voyage et je l'en remercie!
Je suppose que, comme moi,
vous êtes impatient(e)s de découvrir les lumières charentaises
Aujourd'hui, elle vous invite à partager sa lecture du moment.
Lorsque Paul (mon ami) m'a prêté ce livre, il m'a prévenue
C'est DUR mais tu dois le lire jusqu'au bout.
Je ne suis pas du genre à abandonner une histoire mais là, j'avoue que j'ai un peu de mal.
Que de souffrances dans ce livre! Heureusement Paul Lynch (l'auteur) sait retenir le lecteur grâce à son écriture qui mêle réalité et songe. J'ai hâte de savoir ce que Grace découvrira dans son errance à travers l'Irlande, en 1845, en raison de la Grande Famine et comment elle sortira de cette aventure.
À propos de lecture, en cette période de proclamation des prix littéraires, j'aurais pu choisir l'un des deux ouvrages deux-sévriens récompensés par le Goncourt.
Quel département peut s'enorgueillir
d'avoir deux auteurs qui ont eu cet honneur?
En 2015, vous vous souvenez sans doute de Mathias Enard avec "La Boussole".
Mais qui se souvient du Goncourt décerné il y a tout juste un siècle à Ernest Pérochon pour Nêne?
Lors de mon article célébrant l'anniversaire de mon Terrier, je disais combien je suis une piètre photographe. Puisque c'est en forgeant que l'on devient forgeron prenant des photos que l'on devient "photographe", j'ai décidé de soigner le mal par le mal.
En lisant l'un des derniers articles de Scrap à Puy, j'ai eu envie de suivre sa proposition. Claude, une amie charentaise très experte en photos et surtout sachant les mettre en valeur par le biais du scrap nous invite à poster une photo par jour de l'Avent en suivant une liste définie à l'avance.
Tout naturellement,
en ce premier jour de décembre,
la photo doit illustrer un calendrier de l'Avent.
J'aurais pu choisir l'un de ceux que j'ai fabriqués en patchwork mais je les ai déjà présentés ici ou là.
Cette année, mon choix se porte tout naturellement vers celui que je trouve le plus beau (!!!) puisque c'est celui que Tit'Marmotte a confectionné elle-même. De plus, il est totalement esprit récup, ce qui me ravit.
N'hésitez pas à faire les curieux
pour voir de belles photos de calendriers de l'Avent
C'est l'ex-charentaise qui vous parle aujourd'hui.
Samedi, j'ai suivi sur France 2 un documentaire très intéressant sur la renaissance de nos célèbres pantoufles et je vous invite à le voir en replay, ici.
C'était sans compter sur la force de ce symbole charentais
qui, comme le phénix peut renaitre de ses cendres.
C'était sans compter sur la détermination de Olivier Rondinaud,
arrière-petit-fils du créateur de cette célèbre pantoufle.
C'était sans compter sur la motivation de Michel,
ancien commercial de l'entreprise.
C'était sans compter sur la mobilisation des employés
détenant un précieux savoir.
Collectionneur de vieilles machines à coudre, nostalgique de cette manufacture dans laquelle il a traîné ses pantoufles lorsqu'il était enfant, convaincu de la nécessité de préserver ce patrimoine charentais, Olivier s'est battu pour ne pas laisser partir ce trésor en Espagne ou ailleurs.
Avec Michel, ils ont su retrouver les fournisseurs locaux prêts à les approvisionner en temps et en heure.
Leur défi est simple: miser sur la qualité du travail artisanal humain, sur le savoir-faire des anciens employés, sur l'utilisation des matières naturelles, sur la transmission et tout simplement sur le "made in France".
Pas question pour eux de viser le productivisme. Faire travailler une quinzaine de personnes pour un nombre limité de pantoufles leur suffit. Les rêves de "grandeur" de l'après-guerre ne sont plus d'actualité.
Cependant, si la qualité de ce "cousu/retourné" n'est plus à démontrer, ces nouveaux chefs d'entreprise ont compris qu'il faut "se mettre au goût du jour".
Si les écossais ou les pieds-de-poule des charentaises ancestrales plaisent toujours, ils savent aussi trouver de nouveaux motifs, de nouvelles couleurs afin de "casser les clichés". Leurs produits sont adaptés à chaque tranche d'âge et à tous les goûts.
Sans vouloir jouer les influenceuses, je vous invite à vous rendre dans une boutique locale qui vend ces nouvelles charentaises, comme par exemple "La pantoufle à Pépère".
Mais, de grâce, ne passez pas par A.....
Souhaitons que cette année,
au pied de chaque sapin,
une charentaise attende le Père Noël.
On dit le patrimoine charentais mais c'est le patrimoine français...
... le béret, le pain et les pantoufles!
Mais lorsque Tit'Marmotte réclame un déguisement...
Comment résister?
Pas trop d'inspiration, non plus mais avec l'aide d'Internet on peut trouver des idées.
Photo trouvée sur le Net
Quelques morceaux de tulle noir, violet et orange coupés en pointe puis assemblés sur une ceinture élastique noire avec un peu de brillant. Voilà une belle jupe de sorcière.
Avec la jupe, il faut un tee-shirt qui sera réalisé dans un coupon de lycra noir et décoré de quelques chutes de tulle orange. Double avantage: ces décos pourront être décousues pour utiliser le tee-shirt!
Et pour compléter l'ensemble, il faut un chapeau qui sera fabriqué avec deux ronds et un quart de rond de tissu noir.
Pour que la pointe soit rigide, j'ai utilisé de la toile thermocollante et pour solidifier le tout, quelques points fantaisie avec du fil assorti orange et violet qui font un joli dessin.
Il ne reste qu'à cacher la couture d'assemblage avec un ruban aux mêmes couleurs et une boucle.
Je n'ai pas le mannequin sous la main
pour vous montrer l'ensemble.
J'ai hâte de voir la réaction de Tit'Marmotte!
Mais je sais que je n'aurai pas cette joie en direct
puisque nous ne pourrons pas nous retrouver comme prévu.
A propos d'Halloween, je pourrais changer d'avis après la lecture de La Ruche des Quilteuses que je vous invite à rejoindre si vous voulez en savoir davantage sur cette tradition... et sur cetOctobre noir!
Katell nous rappelle apprend que cette fête d'origine celtique, également appelée Samaïn, célèbre le passage d'une année à l'autre... un peu comme la St Sylvestre.
Samaïn est une fête de fermeture de l’année écoulée, et d’ouverture de l’année à venir, c’est une charnière en dehors du temps