Le mot queMa'nous demande d'illustrer cette semaine est on ne peut plus d'actualité!
FLAQUE
Je n'ai pas pris le temps de sortir pour faire une photo mais en cherchant un peu dans ma "photothèque", j'ai retrouvé ce cliché pris au printemps dernier qui avait mis du piment à une randonnée dans le Cirque de Seneuil.
J'aimerais aussi souhaiter la bienvenue aux personnes qui ont rejoint la visite de mon Terrier dernièrement.
Depuis quelque temps, je suis moins motivée pour écrire et pourtant je reste persuadée que c'est le réseau social qui me correspond le mieux. Ces différents articles me servent de "journal", ils sont archivés et je peux y retrouver de nombreuses informations.
Je continuerai donc mon bavardage...
En parcourant le blog de Scrap à Puy, j'ai découvert sa participation au défi photo organisé par Ma'. Je les avais suivies en décembre 2020 et en décembre 2022.
J'ai décidé de les accompagner même si je sais que je ne publierai pas une photo chaque semaine de l'année!
Voici donc la première pour moi,
illustrant le mot HIVER.
Un mot bien choisi, vu les températures de la semaine...
n'oublions pas que nous sommes en janvier!
En cette période un peu froide, il ne faut pas oublier nos amis les oiseaux qui ont du mal à trouver leur nourriture. C'est le moment de leur apporter quelques graines même s'il ne faut pas en abuser et surtout ne pas le faire n'importe comment. En voulant s'occuper de ces petits compagnons, nous pouvons aussi leur faire du mal involontairement.
J'en profite pour vous relayer les conseils du GODS (Groupement ornithologique des Deux-Sèvres):
Attention ! Des cas de ce qui ressemble bien à de la poxvirose ont été recensés sur des mésanges charbonnières ! La maladie n'est pas transmissible à l'Homme ou aux autres animaux, néanmoins, c'est l'occasion de rappeler quelques règles pour les mangeoires :
- Privilégier les mangeoires suspendues aux plateaux, dans lesquels les oiseaux peuvent marcher et fienter.
- Privilégier les mangeoires fabriquées en matériaux lisses non biologiques, plus faciles à nettoyer et à désinfecter (…même si une « petite maison en bois » est plus esthétique sur les photos…).
- En période de nourrissage (fin automne, hiver), proposer des quantités modérées de nourriture chaque jour (idéalement, en cas de distribution de graines, la mangeoire doit être vidée dans la journée ou en quelques jours lors d’utilisation de distributeur de graines).
- Ne pas donner de graines moisies.
- Pour une même quantité de nourriture donnée par jour, multiplier le nombre de postes de nourrissage afin de diminuer la densité d’oiseaux par mangeoire.
- Réaliser un déplacement régulier des postes de nourrissage dans le jardin afin d’éviter une accumulation d’excréments et de nourriture non consommée à un endroit.
- Éliminer les graines éventuellement souillées par des fientes tous les jours.
- Nettoyer les abreuvoirs et les éventuels bassins tous les jours et les remplir avec de l’eau fraîche.
- Nettoyer, désinfecter, rincer et laisser sécher les mangeoires, abreuvoirs et bassins toutes les semaines.
Tous les fidèles visiteurs du Terrier connaissent la passion de Marmotte pour la biodiversité en général et pour les papillons en particulier.
Il suffit de se rendre ici pour en avoir un aperçu.
Comme chaque année, au printemps, j'aime me promener dans la nature pour apercevoir quelques beaux spécimens et en découvrir de nouveaux.
À la fin de l'été, j'essaierai de répertorier toutes les photos prises au cours de la saison.
Avant cela, j'aimerais vous présenter le travail réalisé par Tit'Marmotte l'été dernier.
Comme vous avez déjà pu le lire, pendant ses séjours au Terrier, elle s'intéresse à ce qui l'entoure et elle est bien guidée par Marmotton lorsqu'il est présent. Elle a bien enregistré ce qu'il lui a appris, au point d'alimenter son imaginaire.
Pendant les vacances, il faut aussi poursuivre l'apprentissage scolaire mais de façon plus ludique. Tit'Marmotte adore inventer des histoires ce qui m'a incitée à lui proposer d'en écrire une à propos de ce qu'elle observe.
Elle a vite "joué le jeu" en trouvant le lieu: le Terrier, le temps: l'été et les personnages: des papillons. Nous avons recherché ensemble ceux qui étaient le plus présents et observé leurs couleurs afin de les décrire. Quant à la trame de l'histoire, son imaginaire est vite entré en action. Le but était d'avoir terminé avant le retour des parents et le pique-nique familial au cours duquel elle pourrait présenter son récit.
Pour conserver une trace de ce travail, je lui ai proposé d'imprimer un livre.
À moi, le soin de corriger quelques fautes, de faire la mise en page et de trouver les photos pour l'illustrer.
Si vous avez un peu de temps, asseyez-vous confortablement et savourez.
Le changement de couleur de la police est voulu par Tit'Marmotte: noir dans la "vraie vie" et bleu dans l'imaginaire.
Merci à Sandrine, une amie des parents de Tit'Marmotte, qui nous a confié la plupart des photos.
Je vous laisse apprécier la composition et la richesse de ce récit!
Ce rêve est devenu réalité grâce à la réactivité de Michelle et une petite escapade à Nantes.
Nous avons pu installer ce chef-d’œuvre sous le stand de DSNE. Il a été admiré par de nombreux visiteurs.teuses qui reconnaissaient le modèle ou avaient envie de le découvrir.
Si la manifestation se passait bien sur le lieu d'origine de la photo qui a permis à Michelle de réaliser son Rhinotrogne, les stands étaient tout de même assez éloignés de l'arbre remarquable.
Je ne pouvais pas le laisser repartir vers une nouvelle destination sans lui faire rencontrer notre chêne.
À gauche ou à droite, lorsque j'ai découvert les photos, je n'ai pu que m'extasier de la ressemblance.
Comment Michelle... qui n'a jamais mis les pieds au Puits d'Enfer... a-t-elle pu réaliser un tel exploit?
Quel talent!!!
Toute ressemblance avec un trogne existant n'est pas fortuite!
J'aurais bien bien aimé aller voir toutes ces représentations d'arbres mais je suis certaine que nous en aurons au moins des photos.
Des photos d'arbres et les descriptions qui les accompagnent,
j'en ai découvert un certain nombre sur le blog de mon amie Manu.
C'est en hiver, lorsqu'ils sont libérés de leur feuillage que l'on découvre vraiment leur silhouette qui, souvent, raconte les mésaventures qu'ils ont connues.
Un grand jardin au bord de la Charente à Angoulême.
Un écureuil qui cache ses provisions de glands.
Une bonne terre et des conditions météorologiques favorables.
Il n'en faut pas davantage pour qu'au printemps une minuscule pousse de chêne pointe le bout de son nez ses feuilles au beau milieu d'une plate-bande de légumes.
Un couple de jardiniers qui surveille de près ses plantations découvre cet intrus et comprend qu'il pourrait vite prendre de l'ampleur et neutraliser une partie du jardin.
Mais chez ces gens là, on respecte Dame Nature et il n'est pas question de supprimer ce nouvel arrivant plein de vigueur.
Une solution est vite trouvée : la transplantation. À défaut d'un terrain approprié, un grand pot de fleurs sera le bienvenu.
Notre petit chêne s'installe donc dans son nouveau refuge sans aucune concurrence. Il est choyé, arrosé, nourri, bichonné, surveillé de près par ses hôtes. S'il fait trop chaud, on le met à l'ombre, s'il fait trop froid on lui trouve un abri douillet. Dans de telles conditions, il ne peut que prendre ses aises et s'étaler dans son pot. Au cours des années, plusieurs branches se développent et se couvrent de feuilles.
Mais au bout d'un certain temps, il commence à se sentir à l'étroit et ses hôtes comprennent qu'il faut lui trouver un terrain un peu mieux adapté pour qu'il puisse se développer correctement et ne pas rester à l'état de bonsaï.
C'est ainsi que tout naturellement ils imaginent que notre Terrier pourrait l'accueillir. Ils se souviennent de l'histoire du grand châgne
Arrivé fin novembre, notre chêne a passé encore l'hiver dans son pot et le week-end dernier ce fut le grand déménagement.
La plantation faite près du grand chêne à terre n'ayant pas survécu à la chaleur et au manque d'eau de l'été dernier, nous décidons donc de l'évacuer et la remplacer par le nouveau venu qui ne demande qu'à s'installer confortablement.
Il faut commencer par lui faire une coupe de cheveux des branches inutiles pour que la tige principale puisse se développer correctement.
Le trou est creusé davantage pour des fondations plus stables. Il est rempli de terre fertile et de compost, le tout bien mélangé.
Un tuteur et une protection contre les rongeurs sont nécessaires pour sécuriser le nouveau logement et ainsi toutes les conditions sont réunies pour une installation définitive.
Il faudra sans doute lui apporter quelques seaux d'eau si la pluie n'arrive pas prochainement.
Nous guetterons impatiemment la pousse des premières feuilles au printemps.
Ses anciens propriétaires seront sans doute ravis de venir lui rendre visite dans un aussi bel environnement.
Souhaitons-lui longue vie !
Le succès n'est pas final, l'échec n'est pas fatal; c'est le courage de continuer qui compte.
Je pourrais reprendre l'article publiéici, il y a 2 ans exactement, en y ajoutant quelques photos encore plus spectaculaires.
Nous sommes parfois obligés de quitter le sentier pour prendre de la hauteur car les eaux nous barrent le passage... et encore elles se sont un peu retirées!
Impossible de traverser comme en été!
Après de fortes pluies, ce petit ruisseau se transforme vite en torrent de montagne avec un débit assourdissant.
Je préfère vous montrer une photo découverte lors d'une recherche de cadeaux de Noël.
C'est une photo de fleur de pissenlit, prise en fin de journée avec le soleil rasant, seulement la fleur était dans un rayon de lumière, le sol était dans l'ombre.
Ce jeune artiste photographe naturaliste a profité de ses missions un peu partout à travers le Monde pour capter des instants précieux et les faire partager.
Comme Marmotton, il a connu les paysages sublimes de l'archipel de Kerguelen et a su intercepter ce qui en fait leur richesse et leur originalité.
Je suis émerveillée par sa façon de retenir les regards sereins des différentes individus.
Ces animaux auraient-ils trouvé un certain paradis sur ces îles lointaines?
En observant tous ces clichés, n'avez-vous pas envie de faire en sorte que cette tranquillité ne soit pas menacée?
Son reportage à travers la Scandinavie nous entraîne également dans une grande sérénité avec toutes ces étendues blanches.
Là encore, demandons-nous si nos petits-enfants pourront s'émerveiller devant ces paysages sublimes!
Les visiteurs de ce Terrier savent combien le domaine de la forêt m'attire également.
Jérémy a su sublimer certains détails: la cime d'un arbre, les troncs balayés par la pluie, le clair de lune, une feuille d'automne, une plume, une toile d'araignée, le brouillard ou la neige, une goutte d'eau qui touche le sol...
Je vous laisse découvrir ses autres sujets de prédilection ici.
Mais n'oubliez pas de rendre également visite à Scrap à Puy.
Pour illustrer le mot "lumières" j'ai pensé à celles qui, parfois, mettent bien en valeur les richesses de la nature lorsqu'on sait regarder autour de soi... même en marchant très vite comme Laurence, ma jeune sœur, qui a bien voulu partager cette belle photo prise près de Fléac en Charente.