Après une série d'articles concernant le patchwork et en attendant la suite, Marmotte a très envie de revenir sur sa deuxième passion : la biodiversité.
Il y a un an, j'avais pris le parti de parler assez longuement ici de ce sujet et les commentaires m'avaient prouvé que ce sujet intéresse de nombreux(ses) visiteurs(ses).
À l'automne,
ma bibliothèque s'est enrichie de plusieurs opus.
Lors du FIFO, j'en ai également acheté deux autres sans compter l'achat de Marmotton.
Certaines de ces lectures sont passionnantes, d'autres un peu plus ardues ou critiques.
Mais je crois que c'est à Noël que j'ai reçu le livre qui m'a le plus marquée et dont j'ai déjà parlé ici.
Là encore, vos nombreux commentaires me prouvent que ce sujet vous intéresse.
À cette période de l'année, il ne se passe pas une seule semaine sans que nous constations le massacre d'une haie dans les environs, que ce soit une coupe faite avec une mâchoire qui maltraite tous les végétaux ou même un arrachage catégorique.
L'an dernier, lorsque notre Grand châgne est tombé, nous en avons replanté deux mais l'un d'eux n'a pas résisté à la sécheresse de l'été.
En décembre, nous avons donc remplacé ce jeune chêne par un autre issu d'un bois voisin. Espérons que celui-ci aura davantage de chance.
Récemment, Mr Marmotte a reçu en cadeau un autre arbre fétiche du Terrier. Je vous laisse deviner lequel.
Un indice avec ces photos, au cours des saisons, de celui qui existe déjà mais qui commence à montrer quelques signes de déclin.
Nous avons donc planté le jeune à bonne distance de l'ancien mais à proximité tout de même.
En même temps Marmotton avait ramené un plant de merisier, autre arbre symbolique des lieux.
C'est par une journée bien brumeuse qu'il a été mis en terre dans une haie pour masquer un peu (plus tard) la vue des éoliennes implantées au printemps dernier non loin du Terrier.
Ce ne sont que « quelques gouttes d'eau arbres qui ne cachent pas la forêt » mais qui ont leur importance.
Rien à voir avec ce que font certaines personnes qui ont compris la nécessité de changer le cours des choses et dont je vous parlerai prochainement.
En attendant, je vous invite à lire cet article paru dans la presse locale qui présente le livre de Alain Persuy, forestier, écologue poitevin.
N'est vaincu que celui qui croit l'être.