Toujours des ronds
mais cette fois, ils sont en tissu.
Que pensez-vous de ma composition?
Demain, je vais coudre...
Le bonheur n'est pas au bout du chemin; le bonheur est le chemin.
Toujours des ronds
mais cette fois, ils sont en tissu.
Que pensez-vous de ma composition?
Demain, je vais coudre...
Le bonheur n'est pas au bout du chemin; le bonheur est le chemin.
Tit'Marmotte a lu tous vos gentils commentaires
et elle vous remercie.
Mardi, dans la longue-vue, Tit'Marmotte a observé un faucon pèlerin sur son nid accroché à la falaise.
Elle a vérifié dans son guide "Ornithorama".
Ce mercredi, le vent est très froid. Nous ne profiterons pas beaucoup de l'extérieur.
C'est donc une journée pour "tourner en rond" à l'intérieur.
La maîtresse a donné plusieurs défis à réaliser pendant les vacances. C'est l'apprentissage de la rosace qui sera au menu du jour.
Et si je faisais des ronds en papier à coller?
De beaux assemblages!
Je pense déjà à une autre activité qui arrive pour demain...
Et vous, avez-vous deviné?
Un sourire coûte moins cher que l'électricité mais il donne autant de lumière.
Ce deuxième jour de vacances est consacré à l'extérieur
car il fait beau... mais un peu frais!
Tit'Marmotte retrouve la maison des papillons.
Pendant l'hiver, les portes sont restées fermées.
Avant d'y installer les poupées, il faut faire un peu de ménage.
Après son travail, Marmotton nous invite à faire une petite sortie ornithologique.
Devinez-vous ce que Tit'Marmotte a repéré dans la longue-vue?
Voyons le bon côté des choses...
Deux semaines de vacances de printemps au Terrier pour Tit'Marmotte.
Cela n'était jamais arrivé.
Merci méchant virus!
Ce lundi, Tit'Marmotte est heureuse de retrouver sa machine à coudre.
Merci Katell qui nous a donné une idée d'occupation très simple: un dessous de verre.
Plier les carrés et les "tresser"
Coudre tout autour... bien réussi!
Il fait un beau soleil. Profitons-en pour faire une balade.
En ce moment, les bois sont tapissés de jolies fleurs.
De l'ail des ours pour faire une délicieuse quiche.
Des jacinthes sauvages appelées "clochettes" pour faire un joli bouquet.
Pas de nouvelles décorations cette année.
Vous pouvez éventuellement retrouver ma création de l'an dernier ici.
Cette année, je veux simplement partager avec mes visiteurs, ces belles fleurs de magnolia que nous avons eu le privilège d'admirer chez nos amis, la semaine dernière.
Je voulais également vous donner la réponse à ma question de l'article du 1er avril:
Quel rapport voyez-vous avec les deux photos suivantes?
Bien entendu, nous ne mangeons pas les papillons mais, comme l'ont deviné Claude et Andrée, il s'agit bien de la plante sur laquelle se pose ce papillon.
L'aurore (Anthocharis cardamines) est un lépidoptère qui arrive lorsque fleurit la cardamine sur laquelle il pond ses œufs.
Je n'ai jamais réussi à le photographier!
La cardamine pousse régulièrement sur les prés humides du Terrier et comme les tontes sont de plus en plus espacées, elle se multiplie bien ces dernières années.
Elle fait pourtant partie de ces adventices que certains considèrent comme "mauvaises herbes"... mais pas chez nous!
Elle pousse dans les terrains humides et côtoie parfois la fritillaire.
Au lieu de la tondre, voire de la détruire... bien au contraire, nous guettons les premières fleurs qui se mêlent aux pâquerettes et aux primevères pour donner un peu de couleur aux salades. En les ajoutant aux carottes, pousses d'ortie, fleurs de pissenlits, on obtient un délicieux gratin.
J'ai découvert cette recette
dans un livre de Annie-Jeanne & Bernard Bertrand
"Saveurs printanières de fleurs sauvages".
Bon dimanche pascal à tous les visiteurs du Terrier!
Marmotte n'a pas de poisson à vous présenter en ce 1er avril
si ce n'est le souvenir d'une Journée de l'Amitié
organisée par la toute nouvelle délégation charentaise de France Patchwork
à Montmoreau, en 2005...
c'était hier!
Je vous invite à visiter les blogs de Scrap à Puy et Verveine & lin pour profiter du Festival du Poisson Farceur organisé par Esperluette. Vous y trouverez toutes sortes de belles idées.
Je profite de ce message pour vous poser une question
qui n'a rien à voir avec le poisson.
Quel rapport voyez-vous avec les deux photos suivantes?
Un indice: nous ne mangeons pas les papillons!
Si la musique nourrit l'amour, alors jouez!
Auprès de mon arbre,
Je vivais heureux,
J'aurais jamais dû m'éloigner de mon arbre...
Auprès de mon arbre,
Je vivais heureux,
J'aurais jamais dû le quitter des yeux...
Georges Brassens chantait si bien ce refrain... il me rappelle notre grand chêne!
J'ai envie de le chanter moi aussi et surtout j'ai envie de vous conseiller de suivre son conseil.
Si vous aimez un arbre, une forêt, surveillez-les bien car du jour au lendemain ils pourraient disparaître. C'est ce que montrait l'émission de TV5, dimanche soir, Sur le front des forêts... une émission peut-être pas totalement objective et incomplète au niveau de la filière bois mais qui donne vraiment à réfléchir. Une fois de plus, on a l'impression de marcher sur la tête: pourquoi vendre le bois français à la Chine pour fabriquer des meubles qui nous reviendront et dans le même temps importer du bois du Brésil ?
En remplaçant nos chauffages au fioul par du bois, nous croyons "faire un geste pour la Planète" et en réalité nous contribuons à la destruction de l'un de nos poumons.
Je vous invite à lire (ou relire) cet article publié par Terres de bocage à ce sujet.
Il y a tout juste un an, Katell nous faisait part, elle aussi, de son désarroi face à la destruction de la forêt de Bouconne aux portes de Toulouse.
Ce matin, je n'ai qu'une envie: ressortir mes outils tissus pour planter coudre un arbre... voire une forêt Je vais certainement réutiliser les modèles des arbres que j'ai envoyés en Australie.
Des arbres, ce n'est pas ce qui manque dans mon Terrier. Souvenez-vous de ceux que j'ai plantés autour du lit de bébé de Tit'Marmotte.
Et pour égayer ma journée, ce matin, j'ai accroché au mur Ma sylvothérapie.
Le monde n'a pas besoin d'être gouverné: en fait, il ne devrait pas être gouverné, car le bon ordre résulte spontanément quand les choses sont laissées à leur cours.
Comment annoncer le printemps ?
Les hirondelles sont arrivées mais ne se manifestent pas encore beaucoup.
Les oiseaux chantent à tue-tête et préparent leurs nids plus ou moins discrètement.
La végétation reverdit et les fleurs parsèment les prairies.
C'est une de ces fleurs printanières
que je veux mettre à l'honneur cette année.
Début mars, nous avons fait une nouvelle sortie à Bougon pour revoir ce lieu découvert récemment. L'eau s'est retirée et les chemins sont un peu plus praticables sans les bottes. Les pélodytes sont encore bien présents au vu de leur chant toujours aussi caractéristique mais ils sont bien cachés.
Nous devinons les futures orchidées sauvages.
Les épines noires (pruneliers sauvages) commencent à fleurir dans les haies.
Au loin, les chevreuils broutent en toute liberté.
J'ai pu faire ma première photo de papillon de l'année.
Nous avions choisi cette période car nous savions y observer une plante qui affectionne particulièrement ce genre de milieu : la « pimpelotte » ou « papelotte ».
De son véritable nom « fritillaire pintade » (Fritillaria meleagris), elle se reconnaît facilement à ses grosses clochettes, à damiers virant du pourpre au mauve voire au blanc, tournées vers le sol. En général, une seule fleur par tige de 20 à 30 cm se balance au gré du vent.
Cette « tulipe sauvage » change d'appellation selon les endroits en fonction sans doute du patois local et des différentes régions de France.
Elle ne pousse que dans ces prairies naturelles humides qui n'ont jamais été labourées et souvent piétinées par les animaux ou le long des sentiers humides et boisés.
J'ai bien dit : « nous avons observé »
et non pas « nous avons cueilli ».
Autrefois, lorsque j'étais enfant, notre grand plaisir était de prendre notre vélo pour nous rendre à Saint-Maxire où nous savions trouver, toujours dans le même pré au bord de la Sèvre Niortaise, cette première fleur annonciatrice du printemps. Nous revenions, les bras chargés de « chaudrons » pour faire des bouquets qui ne duraient malheureusement que peu de temps.
Cette pratique est, de nos jours, totalement interdite car la fritillaire est devenue très rare. Elle est placée sur la liste rouge des espèces menacées du fait de la raréfaction de son habitat naturel.
L'association DSNE vous en parle mieux que moi.
Protégeons cette fleur fragile
et peut-être pourrions-nous nous en inspirer pour de futurs ouvrages?
Le paradis n'est pas un lieu, c'est un état d'âme.
Protégeons cette fleur fragile
et peut-être pourrions-nous nous en inspirer pour de futurs ouvrages?
Il y a longtemps que Marmotte n'a pas parlé cuisine!
Hier soir pas beaucoup d'inspiration, frigo un peu vide et réserve de légumes de saison au plus bas... mais il y a toujours quelques pâtes, le congélateur et les conserves. La famille Marmotte ne risque pas de mourir de faim même en auto confinement volontaire.
Une soudaine envie de lasagnes...
peut-être inspirée par Mr Marmotte qui prépare ses lasagnes au jardin...
mais pas avec la traditionnelle bolognaise.
Pour une fois, je délaisse un peu Cooking Julia au profit de Marmiton. Je découvre une recette de lasagnes provençales bien appétissantes mais pas vraiment de saison... quoi que... un bocal de courgettes/tomates maison pourrait bien remplacer les légumes méditerranéens.
Le gorgonzola n'est pas un fromage que nous consommons régulièrement, par contre, il me reste un morceau de fourme d'Ambert. Pourquoi ne pas essayer?
Quant au pesto vert... pas de souci... j'ai du pesto de persil qui devrait remplacer avantageusement le traditionnel pesto basilic.
Il ne reste qu'à monter les différentes couches et recouvrir de pesto jaune dont la douceur sera aussi agréable qu'une sauce tomate, saupoudrer de parmesan et cuire au four avant de déguster avec une salade frisée du jardin.
Mes convives se sont régalés avec ces produits simples.
À part les pâtes et le fromage tout est fait maison... avec amour de surcroît!
Manger moins mais manger mieux...
cela me ramène tout "naturellement" au blog de La ruche des quilteuses de ce jour. Avec son magnifique patch "Réenchanter le monde", Katell décrit avec brio ce que je pense tout bas… et cet article réenchante si bien tout ce que j’ai pu écrire dernièrement.
Je terminerai en souhaitant la bienvenue
aux trois personnes qui viennent de rejoindre les visiteurs de mon Terrier
et en remerciant tous ceux qui apprécient ce que j'écris.
Donnez à ceux que vous aimez des ailes pour voler, des racines pour revenir et des raisons de rester.
Alors que nous fêtons l'arrivée du printemps aux environs du 20 mars
selon les années en fonction de la mécanique céleste,
cette saison, synonyme de renouveau,
est célébrée dès le 1er mars en Roumanie.
Cette coutume du "Martisor" existait déjà à l'époque des Daces, ancêtres des Roumains à l'époque romaine.
À l'origine, on offrait aux enfants une pièce qu'ils suspendaient à un collier tressé rouge et blanc. Selon les différentes traditions, un homme et une femme ou un jeune-homme et une jeune-fille échangent un porte-bonheur.
Le rouge et le blanc sont toujours présents. Ces couleurs sont diversement interprétées: le rouge, comme symboles de vie (donnée par la femme) et le blanc comme symbole de lumière (apportée par l'homme). Elles peuvent aussi représenter l'hiver qui s'en va (le blanc) et le printemps qui arrive (le rouge).
Je vous laisse vous faire votre propre opinion en lisant divers articles à ce sujet: ici, ici ou encore là.
Connaissiez-vous cette coutume?
Pour ma part, je viens de la découvrir grâce à notre délégation France Patchwork Charente.
Corine, qui nous envoie régulièrement des messages afin de maintenir le lien entre adhérentes a eu l'excellente idée de nous proposer un échange et avait montré l'exemple en envoyant ce charmant petit bonhomme de laine blanc et rouge à Jeune Marmotte n°2.
C'est Isabelle, membre active de l'équipe qui est à l'origine de ce projet.
Merci à elle!
Voici des exemples proposés par Isabelle.
Nous avions donc le devoir de fabriquer un "martisor" et l'envoyer à la personne désignée.
Je fabrique tout d'abord un yoyo dans un tissu rouge et blanc.
Il me faut un cordon dans ces mêmes couleurs. Je n'en ai pas mais je peux en fabriquer un avec de la laine ou du cordon perlé. De fil en aiguille de cordon en tresse, je déniche une cordelière blanche et une rouge.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?
Au lieu de les tresser simplement, je choisis de faire un nœud celtique en forme de cœur.
Ce ne sont pas les tutos qui manquent!
Le mien sera donc bicolore et tressé avec deux brins de diamètres et de matières différents, l'un est sec et l'autre glissant. Pour un meilleur résultat, je suis obligée de les fixer l'un à l'autre avec un fil invisible.
Le résultat me plaît bien surtout après y avoir suspendu un petit cœur afin d'en accentuer la forme et y avoir cousu un bouton coccinelle comme autre symbole de porte-bonheur.
Pour offrir ce pendentif, il faut un écrin.
Je pense aussitôt à un cœur danois toujours en tissu rouge et blanc.
Vous pouvez trouver de nombreux tutos également pour cette réalisation, comme celui-ci et également des vidéos qui montrent comment ne pas tomber dans le piège du cœur qui ne s'ouvre pas.
Cet échange est arrivé chez sa destinataire juste avant le 1er mars accompagné de la carte appropriée.
Mais moi, j'avais reçu le sien à la veille de la Saint-Valentin... et pour cause: deux jolis coussinets rouges et blancs à suspendre, en forme de cœur et agrémentés de charms porte-bonheur: un fer à cheval et un trèfle à 4 feuilles.
Il était accompagné d'une jolie carte ancienne tout à fait dans le thème.
Merci Catherine!
Nul doute que de nombreuses charentaises auront répondu à cet échange!
Mon petit doigt me dit que l'une d'elle recevra cette jolie tresse rouge et blanche parfumée à la lavande...
Écouter la voix de son cœur, c'est trouver le chemin du bonheur.