Pas de patron à sa taille mais en agrandissant le précédent j'ai pu réaliser la demande de la demoiselle.
Les poupées avaient également besoin de nouvelles tenues. En feuilletant les livres dédiés, Tit'Marmotte trouve toujours des idées.
C'est d'abord le tricot qui m'a occupée quelques jours pour faire une robe aux couleurs qu'elle avait choisies. Un petit cardigan assorti s'imposait aussi.
Moi qui ai toujours rêvé de confectionner une robe de mariée mais n'en ai jamais eu l'occasion, j'étais loin de me douter que j'en ferais une cette année... mais en miniature. Un morceau de rideau, un peu de doublure soyeuse et du tulle... et voilà la robe pour le grand jour. Le tulle est un peu déchiré, peu importe, en cousant quelques fleurs de dentelle on ne voit plus les trous!
Après ces amusements, j'avais très envie de coudre pour moi. Je ne fréquente que très peu les magasins de vêtements en ce moment mais de temps en temps j'ai envie de renouveler ma garde-robe ou du moins d'y ajouter quelques éléments. J'ai acheté récemment un patron de blouse à manches longues qui peut se transformer en top à manches courtes et qui se décline avec plusieurs encolures.
Il vient du site Une rose sur la lune mais le lien semble inactif.
Après les leçons de ski, j’ai donc proposé à Tit’Marmotte l’apprentissage du tricot avec une paire d’aiguilles « spécial enfants ». Elle a très vite compris les 3 principaux gestes : attraper la maille, glisser le brin de laine par-dessus et passer la maille d’une aiguille sur l’autre. Tant que Manouma aide à tenir les aiguilles, tout va bien mais dès qu’elle veut « faire toute seule » les mailles se sauvent. Après 3 ou 4 rangs, la future écharpe pour poupée a été mise de côté pour les prochaines vacances.
Dans le sac, il y avait également un nécessaire pour apprendre le point de croix : canevas à gros trous, grosse aiguille à bout rond, brins de laine et l’indispensable dé. Tit’Marmotte a très vite acquis le fait de piquer l’aiguille, l’attraper par-dessous et ressortir un peu plus loin. Le point droit ne présentant aucun problème, nous sommes passées au point oblique ou demi-point de croix, dans un sens, dans l’autre, de bas en haut ou de haut en bas : un « jeu d’enfant ».
Une fois la semaine terminée, le tout a été également rangé pour les prochaines vacances.
Nous étions loin de nous douter que les « vacances » arriveraient aussi vite mais malheureusement nous sommes bien loin l'une de l'autre!
En cette drôle de période, il faut être imaginatif. Comme Papa et Maman, Tit’Marmotte pourrait peut-être, elle aussi, recevoir du télétravail ?
La proposition a été reçue avec enthousiasme. Il me faut donc déployer mes talents de pédagogue pour donner des consignes par mail, qui puissent être comprises par une enfant de 6 ans.
Défi relevé puisque la première ligne de croix est arrivée, sans erreur (ou presque) et aussi bien devant que derrière.
J’ai vite entendu :
Manouma, je me sens capable de faire des lettres… et je voudrais que tu me dessines un cœur.
Janvier : le moral n’est pas au beau fixe, l’envie de quilter n’est plus là malgré les sollicitations de Sylvie. Malgré tout, je m’oblige à honorer la promesse faite à Dany, une amie charentaise, qui m’a demandé d’animer une journée patch dans son club. Je prépare un nouveau réversible afin de revoir ma fiche technique.
Il est vrai que j’adore ce modèle !
Février : c’est donc le moment d’assurer ce cours avec une dizaine de personnes et finalement j’en ressors regonflée à bloc. Les retrouvailles charentaises m’ont fait beaucoup de bien.
Les ouvrages des participantes au stage.
Mars : ce mois, bien occupé par les vacances d’hiver, n’est pas propice à la reprise des aiguilles. Je trouve tout de même le temps de participer au défi « Millefiori» proposé par Joëlle.
Avril : encore très peu active… si ce n’est pour coudre un nouveau Tit éléphant rose qui fera le bonheur d’une petite Amandine.
Mai : pour fignoler les préparatifs d’une semaine entre amis, je décide de réaliser un set de pique-nique pour chaque personne.
Juin : lors de la JA de Vichy, je découvre le BeeBook qui sera une véritable révélation. Ces nouvelles techniques libérées me tentent.
Juillet : quel bonheur d’avoir une petite-fille qui s’intéresse aux activités manuelles de sa Manouma et quel plaisir de voir qu’elle commence à manipuler la petite machine à coudre de sa cousine !
Je retrouve aussi le goût du tricot pour habiller Jeanne et Mathilde.
Août : il fait trop chaud pour travailler quilter. C’est le moment de ressortir les petites X, commencées il y a si longtemps puis abandonnées, pour les terminer.
Depuis le temps que j'avais acheté le kit "Aux deux mercières",
j'avais très envie de reprendre les aiguilles à tricoter, délaissées depuis si longtemps.
Miracle: c'est comme le vélo, çà ne s'oublie pas!Etvoilà le résultat: 2 mignons petits
chaussons fermés par un bouton assorti, fourni dans le kit.Merci à Jenny pour sa patience car les explications de montage m'ont posé quelques
problèmes... trop simples sans doute!