Depuis dimanche soir, les portes de l'Orangerie se sont refermées,
le parking a retrouvé son calme après le passage de 1300 visiteurs au cours de cette semaine.
Avant de vous montrer les photos des plus beaux ouvrages, je voudrais revenir sur les joies de l'installation...
Les hommes étaient très présents et tout le monde prenait le temps de faire une petite pause.
Moment incontournable: les discours d'ouverture de l'exposition en présence d'un public nombreux dont 3 hommes patcheurs! Qui peut en dire autant? (ce ne sont pas ceux de la photo)
Que dites-vous de cette magnifique table aux couleurs des ouvrages?
Avez-vous reconnu les spécialités régionales: tourteau fromagé et fouace mothaise?
Voici nos hôtes, Paul & Pierrette, radieux. Ils peuvent être fiers d'eux!
Je ne peux résister à la tentation de vous montrer quelques vues de l'expo en attendant de plus belles photos des 170 ouvrages exposés.
Il vous faudra également attendre un peu pour découvrir un reportage sur la collection de points de croix de Françoise Marchadier exposée au rez-de-jardin.
Et maintenant, une petite devinette: que peuvent bien tenir si précieusement Paul & Jacques (2 des 3 hommes patcheurs) dans leurs bras?
Quand on rencontre un homme, un sourire vaut trois parts de bonheur.
ou dans Les Nouvelles, une exposition se prépare à La Mothe-Saint-Héray.
En partenariat avec l’Office de Tourisme, Paul et Pierrette Ricochon ont recueilli un grand nombre de magnifiques quilts dans toute la région Poitou-Charentes. Ces ouvrages ont la particularité d’avoir été déjà exposés ici ou là, mais il y a déjà longtemps et nous aurons plaisir à les voir ou revoir.
C’est l’Orangerie qui aura le privilège d’accueillir ce florilège de patchworks.
La salle voutée du rez-de-jardin fera un bel écrin pour les nombreux points comptés de Françoise Marchadier. Cette artiste sera présente pendant toute la semaine ; vous pourrez donc la rencontrer.
Vous pourrez également retrouver, pendant toute la durée de l’expo, Patricia de l’Atelier de Jarnac, « au cas où il vous manquerait quelques fournitures » pour les régionales et pour découvrir ses merveilles pour les plus lointaines.
Mais où est donc la Mothe-Saint-Héray ?
Que peut-on y faire de plus qu’une exposition ?
Rendez-vous dans les prochains jours pour en savoir davantage.
Le plaisir n'est peut-être pas le bonheur,mais il apprend aussi à être heureux, ou à vouloir l'être.
Des ouvrages connus de toutes les quilteuses, pour la plupart, mais qu’il est plaisant de les approcher de très près! Les salles sont assez vastes pour avoir
suffisamment de recul pour admirer leur composition.
Ces ouvrages qui datent du XIIIe au XXe siècle sont très émouvants. Ils sont le reflet de techniques aussi variées que le Log Cabin,
l’appliqué, le Crazy ou encore le Redwork, etc... Certains, très usagés et de conception primitive prouvent le côté utilitaire de ces quilts anciens. Le Baltimore Album Quilt est grandiose de par sa taille (3,14 x 3,14 m) mais aussi de par la richesse de ses dessins. Que dire de ces deux Etoiles
de Bethléem placées l’une près de l’autre mais qui ne se ressemblent pas du tout; l’une étant tellement quiltée que les morceaux se fondent complètement pour donner l’illusion d’un seul
tissu.
Le quilting est vraiment un élément essentiel de ces ouvrages et en fait toute leur beauté. Certains sont extraordinaires !
J’ai eu la chance de visiter cette exposition. Je ne peux que vous recommander d’en faire autant. Elle est ouverte jusqu’au 19 mai… mais attention aux jours
d’ouverture !
Le jeudi, des animations sont proposées en partenariat avec France Patchwork.
Les photos sont interdites, mais un beau catalogue de l’exposition est en vente avec le descriptif de tous les ouvrages.
Outre les stands commerciaux très appréciés du public sur le
salon des Loisirs Créatifs de La Rochelle il était également possible de suivre des stages avec plusieurs artistes de renom comme Odile Bailoeul,
Lucile Dupeyrat ou Hubert Valeri... mais aussi avec des artistes qui ne demandent qu'à faire découvrir leur technique. Je pense tout particulièrement à Maryse Allard
qui proposait un stage de pojagi. Retenez ce nom!
Si les photos ne reflètent pas la qualité de ces ouvrages, je vous invite à chercher à voir "en vrai" un pojagi ou à vous inscrire au prochain stage proposé dans
notre région. Cette technique coréenne était utilisée autrefois pour confectionner des emballages (luxueux, souvent en soie) de cadeaux ou
encore pour recouvrir la table avant le repas. Aujourd'hui, le pojagi réalisé en matières fluides est devenu un élément décoratif gràce à sa transparence et à sa légèreté. Il permet l'inclusion d'autres éléments décoratifs et en particulier le boutis.
Les personnes qui sont allées à Ste Marie aux Mines en 2008 se souviennent sans doute de la magnifique exposition de pojagis japonais à la Villa Burrus.
Et maintenant, le résultat du quizz que vous attendez avec impatience.
Muriel a bien découvert qu'il s'agissait d'un barrage... Mais lequel?
Emmanuelle (qui me connaît bien) a trouvé la bonne réponse!
Cette photo a été prise, début février, au barrage de La Touche Poupard (près de
Saint-Maixent-l'Ecole dans les Deux-Sèvres). Cette année, le lac étant largement plein (bizarre!!!), le trop-plein se déverse en cascade dans la vallée. Le spectacle est magnifique... et de bon
augure pour les réserves d'eau!
14 artistes avaient répondu à l’appel de Sophie Massé, l’organisatrice du salon, en reproduisant à leur façon et selon leur technique de prédilection, 4 timbres de collection édités par
la Poste : broderies, dentelles, boutis, scrapbooking ou autre… quelle imagination !