Janvier : le moral n’est pas au beau fixe, l’envie de quilter n’est plus là malgré les sollicitations de Sylvie. Malgré tout, je m’oblige à honorer la promesse faite à Dany, une amie charentaise, qui m’a demandé d’animer une journée patch dans son club. Je prépare un nouveau réversible afin de revoir ma fiche technique.
Il est vrai que j’adore ce modèle !
Février : c’est donc le moment d’assurer ce cours avec une dizaine de personnes et finalement j’en ressors regonflée à bloc. Les retrouvailles charentaises m’ont fait beaucoup de bien.
Les ouvrages des participantes au stage.
Mars : ce mois, bien occupé par les vacances d’hiver, n’est pas propice à la reprise des aiguilles. Je trouve tout de même le temps de participer au défi « Millefiori» proposé par Joëlle.
Avril : encore très peu active… si ce n’est pour coudre un nouveau Tit éléphant rose qui fera le bonheur d’une petite Amandine.
Mai : pour fignoler les préparatifs d’une semaine entre amis, je décide de réaliser un set de pique-nique pour chaque personne.
Juin : lors de la JA de Vichy, je découvre le BeeBook qui sera une véritable révélation. Ces nouvelles techniques libérées me tentent.
Juillet : quel bonheur d’avoir une petite-fille qui s’intéresse aux activités manuelles de sa Manouma et quel plaisir de voir qu’elle commence à manipuler la petite machine à coudre de sa cousine !
Je retrouve aussi le goût du tricot pour habiller Jeanne et Mathilde.
Août : il fait trop chaud pour travailler quilter. C’est le moment de ressortir les petites X, commencées il y a si longtemps puis abandonnées, pour les terminer.
Dans un mois, nous serons déjà à la veille de Noël...
il est temps de penser aux petits cadeaux!
Un peu partout en ce moment, fleurissent divers marchés de Noël où il fait bon se promener.
Si vous voulez être sûrs de dénicher des objets fabriqués par des créateurs locaux et non du "made in C...", je vous recommande tout particulièrement deux adresses.
Tout d'abord, ce week-end, à NIORT (Deux-Sèvres), le marché de créateurs à Noron.
Vous y rencontrerez deux créateurs qui me tiennent à cœur.
Sur le stand de JAMaBé, vous pourrez dénicher LE bijou que vous cherchiez depuis longtemps. Je suis témoin: c'est bien Maude qui les créée et les assemble.
Quant à Jean-Pierre, je vous l'avais déjà présenté l'an dernier. Peut-être aurez-vous le plaisir de le voir tourner ses objets sur place.
Le week-end suivant, c'est à Bassac, en Charente que je vous invite à vous rendre.
En plus de la visite de l'abbaye qui mérite le détour, là encore, vous êtes assurés de rencontrer des créateurs de talent. Vous y retrouverez Emmanuelle que vous connaissez bien par son blog ainsi que sa sœur, Hélène.
Comme Les3sardinesle dit dans les commentaires, moi aussi, lorsque je suis invitée je n’aime pas arriver les mains vides mais au lieu de me précipiter chez le fleuriste ou le marchand de chocolat, je préfère apporter un objet ou des friandises « made in Le Terrier ».
C’est ainsi que la semaine dernière, j’ai retrouvé une idée assez ancienne mais qui fait toujours ses preuves : le sac écolo-cœur.
Depuis quelque temps, j’ai également dépassé l’idée de « ne pas toucher à ce tissu bien trop beau ». je n’ai donc pas hésité à choisir un tissu avec des poules que j’adore et qui s’accorde parfaitement avec un reste de tissu uni. Il me restait juste assez de tissu marron, j’en ai profité pour en faire un 2e tout de suite.
Je suis ravie car maintenant mes 2 « petites poulettes » auront sous la main, dans leur camping-car, un joli sac écolo !
J’avais découvert ce modèle chez Le marquoir d’Élise. Je sais qu’il existe de nombreux pas à pas mais j’ai décidé de faire une nouvelle fiche car j’ai apporté plusieurs modifications au modèle initial. Si elle vous intéresse, je vous l’offre.
Puisqu'il a trouvé sa famille d'accueil, je peux vous le présenter.
Réalisé avec un coupon de tissu Minky et un patron Cotton Ginnys acheté à l'Atelier, il est très agréable au toucher! Je suis certaine qu'il fera le bonheur du petit bébé qui vient de l'adopter.
Avant de quitter le Terrier, il a fait le tour du jardin
Il m'est arrivé de suspendre des oranges piquées de clous de girofle... mais ici, en plus, il fallait piquer les clous de façon harmonieuse après avoir dessiné un sillon en retirant le zeste de l'orange (zeste qui, une fois séché au four me servira par ailleurs... je vous en reparlerai).
et voilà un nouveau sapin d'autant plus "récup" qu'il est décoré avec de vieux trésors qui dorment au fond des boîtes de Noël depuis l'enfance des enfants!
Ma sœur, dont le mari est menuisier, venait de me proposer de jolies rondelles de bois taillées dans une grosse branche d'épine (provenant des environs du Terrier de Marmotte).
Je me demandais bien ce que je pouvais en faire lorsque j'ai vu cette proposition.
Quelques minuscules sujets de Noël, un peu de neige artificielle, de beaux verres à pied anciens retournés, une petite bougie... et voilà!
On peut bien sûr compléter le tout avec les mêmes verres comme supports de grosses bougies et comme cache-pots de mini poinsettias.
Partir en vacances à la montagne avec une petite Puce de 3 ans c’est bien agréable mais mieux vaut prévoir quelques activités autres que les balades dans la neige… surtout lorsque celle-ci se laisse désirer!
Quoi de mieux que du matériel pour dessiner ? L’idée du sac d’artiste vu chez Sylvie L8 a inspiré Manouma Marmotte.
Comme souvent, j’ai voulu utiliser les tissus qui restent de quelques réalisations précédentes.
C’est ainsi que le montage est devenu complètement différent de l’original. La pochette pour le bloc de papier et celle pour les crayons ont été améliorées d’un faux biais de couleur contrastée avec quelques broderies.
Pour rigidifier le sac, j’ai doublé d’une toile thermocollante. Difficile alors de retourner l’ensemble, c’est la raison pour laquelle j’ai décidé de finir avec un faux biais.
De peur de voir les crayons « se sauver », il fallait aussi prévoir une fermeture : Quoi de mieux que les pressions Kam.