Les mois ont passé et même les années puisque c'est en 2015 que j'avais entrepris cet ouvrage, proposé par Roxane de Scrap quilt and stitch, que je devais présenter chaque dernier jour du mois.
Les beaux jours arrivant... sans doute... les pages se sont retrouvées enfermées dans une boîte et oubliées.
C'est en mars 2020... !!!... que je les ai ressorties.
Heureusement, le travail était préparé, quelques tissus et accessoires avaient été mis de côté. Peu à peu j'ai repris goût à ces broderies mais pas avec le même entrain. Il m'a encore fallu faire des pauses avant de terminer les différentes pages.
Tournons les nouvelles pages.
Vint alors le moment de la finition et là, l'inspiration me manquait jusqu'à ce que je décide d'utiliser un morceau imitation skaï pour la couverture.
De peur d'avoir du mal à retourner ce matériau un peu épais, j'ai choisi une doublure de la même taille assemblée avec ce point que j'appelle « point d'Astri » du nom de celle qui me l'a fait connaître. Douze citations trouvées sur Internet ont été imprimées sur Coton jet pour embellir les 2e et 3e de couverture.
Mon livre textile n'est sans doute pas un chef d’œuvre mais il est bien le reflet d'un plaisir de broder qui a duré plus de 6 ans... si on ne compte pas les interruptions.
Le bonheur, c'est l'absence de recherche du bonheur.
Tout d'abord, je tiens à remercier toutes les personnes qui ont laissé un commentaire à mes derniers articles car je n'ai pas pris le temps de le faire individuellement.
Tit'Marmotte était tout particulièrement ravie
de recevoir de nombreux compliments pour ses ouvrages.
Aujourd'hui, je reviens aux plaisirs de la table ou comment passer une excellente soirée de Saint-Sylvestre en tête à tête et surtout en restant chez soi.
Lorsque Mr Marmotte a appris que notre restaurant préféré dont j'ai déjà beaucoup parlé (l'Orangerie de Soudan) proposait des réveillons à emporter, il a de suite passé commande.
Je vais vous faire saliver...
Une jolie table
Bûche salée "queue de langousrine, pétoncle, haddock fumé et mousseline de poisson pour l'un.
Poêlée de St-Jacques rôties, onctueux de cabillaud, sauce citron et succédané de caviar pour l'autre.
Médaillon de volaille farci aux pleurotes et châtaignes, sauce crémeuse et pommes de terre au jus de viande pour l'un.
Suprême de chapon parfumé au romarin, courgette garnie d'une mousse de pistache, jus corsé et pomme darphin pour l'autre.
Dôme de mousse passion et mangue poêlée, biscuit dacquoise amande et réduction exotique pour l'un.
Gourmandise de ganache chocolat noir et mousse lactée sur un financier d'épices douces pour l'autre.
Tout était excellent mais comme toujours, les desserts sont des merveilles et particulièrement le dessert au chocolat.
Difficile de l'entamer, tellement il était beau et ensuite ce n'était qu'un mélange de textures: une mousse aérienne, une ganache onctueuse avec deux petits palets croquants au centre... une véritable gourmandise!
L'art le plus noble est celui de rendre heureux.
P.T. Barnum (entrepreneur de spectacles américain)
À peine arrivée, il faut regagner l'atelier et sortir Little Angel de son carton. Elle n'a pas fonctionné depuis cet été.
La machine à coudre que le Père-Noël avait apporté l'an dernier.
Tit'Marmotte avait emprunté un livre à la bibliothèque de sa maman avec une idée bien précise : réaliser un sac.
Elle avait choisi son modèle.
En fouillant dans mes boîtes de tissus, surprise! elle déniche exactement le même que le modèle. Pas question d'en chercher un autre ! Dans les tissus de Noël, elle trouve un tissu doré qui remplacera le lamé or.
Reporter les patrons et découper les tissus ne lui posent aucun problème mais coudre un passepoil demande un peu trop de précision. C'est Manouma Marmotte qui s'en charge et finalement confectionnera le sac.
Au cours de ce travail, Tit'Marmotte découvre la signification de « droit fil » et « biais » pour le passepoil « qui tourne ».
Pour ne pas rester sur cette légère frustration, nous décidons d'en faire un autre beaucoup plus simple d'après une maquette que Tit'Marmotte avait réalisée avec des tissus agrafés.
Elle choisit trois tissus de Noël avec une idée bien précise : faire un sac réversible avec une poche et une grande anse pour le porter en bandoulière.
Dans ce sac, il faudrait une pochette amovible. Manouma propose un modèle (dont j'ai oublié la provenance) qui permettra d'expérimenter l'utilisation du filmoplast.
Un rectangle dans chacune des couleurs, des coupes à main levée (réservées à Manouma) sur les trois tissus superposés et trois rectangles de filmoplast.
Tit'Marmotte comprend vite comment reconstituer le puzzle sur le filmoplast en jouant avec les trois couleurs.
Il faut de la méthode et une grande concentration...
ce qu'elle sait faire !
Étape suivante : coudre un galon fantaisie sur les découpes afin de les masquer et de solidifier l'ensemble.
Nous choisissons d'utiliser un zigzag et ensuite un point droit pour fixer le puzzle sur la doublure.
Il ne reste plus qu'à plier en trois et poser un biais tout autour.
Puisqu'il y avait trois rectangles... ce que je n'avais pas prévu au départ... Tit'Marmotte répète l'opération deux autres fois.
Le travail de rubans qui décoraient les vêtements de cérémonie des Osages est différent du séminole.
Ces bandes étaient faites à partir de rubans pliés et appliqués les uns sur les autres, à la main jusqu'avant l'arrivée de la machine à coudre.
Les tissus étaient le plus souvent unis et les dessins et couleurs très symboliques.
Ouvrage de Denyse Saint-Arroman
Chacune a donc sorti tissus et aiguilles pour s'initier à cette méthode grâce aux explications très claires et sous l’œil avisé de notre animatrice du jour. Une belle découverte pour la majorité des quilteuses charentaises, ravies de cette opportunité.
Deux réalisations des quilteuses charentaises.
Élève indisciplinée, comme souvent lors des JA, je suis rentrée dans mon Terrier sans avoir fini ma bande... loin de là.
J'avoue que j'avais déjà une petite idée en tête.
Toujours réticente avec l'appliqué main, je préfère tester l'appliqué machine.
J'ai donc fait mes appliqués avec du fil transparent et un zigzag le plus petit et le plus discret possible.
Je me souvenais aussi d'un article des Nouvelles n°133 dans lequel Denyse Saint-Arroman décrivait la civilisation des Indiens Osage.
Dans les pages suivantes, Katell expliquait la technique des bordures à la manière des Indiens Osages. Après avoir terminé ma première bande, je me suis fortement inspirée de cet article pour multiplier les bandes.
Voici le résultat.
Mais je me demande maintenant comment l'utiliser :
horizontalement ou verticalement ?
Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve.
Cette dernière n'a pas hésité un instant à répondre à mon invitation en faisant un crochet par Ménigoute la veille de cette rencontre pour admirer les tableaux textiles de Béatrice exposés ausalon d'art animalier.
Après une inoubliable soirée deux-sévrienne, nous avons donc pris la route pour la Charente où nous attendait un nouveau moment d'émotion. Revoir mes amies charentaises ne me laisse jamais indifférente surtout après de si longs mois de silence. Les quilteuses avaient répondu présentes car ce n'est pas moins de 80 personnes qui se sont retrouvées dans ce petit village, connu par son cimetière médiéval et plusieurs témoins de l'occupation de cette région à l'époque gallo-romaine ou même plus ancienne.
Nous étions également invitées à plonger dans le passé par la conférence qui était programmée mais rien à voir avec ces périodes. Katell avait choisi de nous présenter les Amérindiens et nous faire partager son intérêt pour cette culture par l'intermédiaire de la peintre canadienne Leah Dorion.
Katell a captivé les quilteuses avec sa présentation et ses nombreuses citations qui résonnent toujours de nos jours.
Après cette immersion chez les Amérindiens, nous avons été enchantées de découvrir les magnifiques motifs géométriques qui ornaient les fabuleux costumes des Indiens Osages.
Pour transmettre sa technique, Katell s'est inspirée du livre de Denyse Saint-Arroman Bandes en rubans Osage avec l'aimable autorisation de cette dernière.
Si vous voulez en savoir davantage,
rendez-vous demain.
Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé, alors le visage pâle s'apercevra que l'argent ne se mange pas...
Ce magnifique documentaire animalier est le fruit de plusieurs voyages au Tibet et de très longues heures, voire des mois, d'affût par grand froid mais le résultat est à la hauteur de toutes ces attentes. Ce film est également sublimé par les récits de Sylvain Tesson.
Sa photo avait également été choisie pour les gobelets tout aussi collector de 2020.
Cette année-là, était programmé le film de Frédéric Larrey Le royaume glacé de la panthère des neiges que nous avons pu voir en 2021.
Les réalisateurs de La panthère des neiges sont très familiers des habitués du FIFO.
Marie Amiguet, ancienne élève de l'IFFCAM a déjà présenté plusieurs films comme Avec les loups avec Jean-Michel Bertrand, en 2017 et surtout, en avant-première, La part des bêtes avec Vincent Munier en 2018.
« J'aime faire du cinéma animalier en m'attachant à des personnages » déclare-t-elle à Catherine Levesque-Lecointre dans l'infolettre du FIFO de novembre 2021.
Une louve humaine aux yeux lapis lazuli, tapie à l'affût de deux hommes...
Sylvain Tesson
Vincent Munier est également un habitué du festival depuis de nombreuses années avec Michel, son père. Nous l'avons découvert en 2017 grâce à ses photos et son livre Clair de brume. Nous avions été conquis par ses clichés toujours « brumeux » où l'animal est mis en lumière par le paysage dans lequel il évolue.
Ce fut ensuite sa collaboration avec Laurent Ballesta pour Antartica qui nous a subjugués.
Dans le livre Approche les animaux sauvages avec Vincent Munier des éditions Plume de carotte, Cindy Chapelle nous fait découvrir l'évolution du jeune Vincent, illustrée par Marc N'Guessan.
Aujourd'hui parmi les plus grands des photographes animaliers mondiaux, il partage avec les enfants, au travers de ce livre, son histoire, ses passions, ses conseils aussi.Plonger dans un vécu, un témoignage, une expédition ; mieux comprendre la nature ; se tenir informé des dernières découvertes naturalistes : découvrir des contrées inexplorées ; rêver aussi...
Et créer ses propres aventures...
Né dans une famille qui admire et respecte la biodiversité, avec un père photographe, très jeune, il a commencé par partir à l’affût des animaux sauvages et cela ne l'a plus quitté. Il a su faire de cette passion un véritable métier.
Très vite, Michel et Vincent se démarquent en montrant des images d'ambiance, plus que des photos techniques.une marque de fabrication que le jeune photographe animalier imprimera ensuite dans son style.
Voici maintenant un chef-d’œuvre pour le grand écran. Sur les quelques images de la bande annonce, j'ai retrouvé ce style incomparable de Vincent Munier.
Ce film ne serait peut-être pas ce qu'il est sans les récits incomparables de Sylvain Tesson.
Rencontre improbable de cet intrépide écrivain voyageur avec le photographe naturaliste taiseux qu'est Vincent.
Heureusement, Marie est là pour immortaliser leurs dialogues insensés.
Sous l'influence bénéfique de Vincent, Sylvain apprend à lire un paysage, lui qui en a tant parcourus sans rien voir.
Le stégophile apprend à escalader sans bruit et à se fondre dans le paysage. Il profite des longues heures d'affût pour mettre des mots sur ce qu'il observe, sur les comportements des animaux ou des hommes. En 2018, Tibet, Minéral animal, un premier livre, illustré par les clichés de Vincent, témoigne de ce périple.
L'année suivante, La panthère des neiges, son récit de voyage reçoit le prix Renaudot.
Il ne manquait plus que ce film
rassemblant ces trois artistes
pour conclure une merveilleuse aventure !
... prendre le temps de ralentir et profiter de ce qui nous entoure...
Béatrice Bueche a demandé à une amie quilteuse de l'accompagner.
Dans un récent article, vous avez fait connaissance avec Béatrice. Aujourd'hui, je vous présente Michelle Braun.
Michelle, Béatrice, Katell et Pierrette
Ce n'est sans doute pas une totale découverte puisque les adhérents à France Patchworkont pu bénéficier à de nombreuses reprises de ses modèles généreusement partagés dans notre revue Les Nouvelles.
Vous l'avez peut-être déjà rencontrée à la JA des 30 ans de France Patchwork à Sélestat car elle faisait partie de la délégation.
Les quilteuses charentaises présentes à Ligné pour la JA organisée par la délégation charentaise ont eu le privilège d'admirer un petit échantillon de ses nombreux ouvrages car Michelle est très « productive » !
Depuis plus de 10 ans, Michelle anime un atelier, Les petites mains,dans son village de Langensoultzbach, au nord du Bas-Rhin, à deux pas de l'Allemagne.
Presque toujours, elle travaille à la machine mais la plupart de ses modèles sont adaptables à la main. Elle a une prédilection pour les batiks et les tissus colorés qui attirent le regard.
Comme elle me l'a confié :
Mon travail est relativement éclectique, je touche un peu à toutes les techniques et ensuite j'essaie de les transmettre.
Si, comme moi, vous avez envie de vous inspirer de l'un de ses ouvrages, je vous invite à ressortir vos revues.
Voici ceux que j'ai repérés. Piécés ou appliqués, figuratifs ou abstraits mais toujours de tendance contemporaine, vous n'avez que l'embarras du choix !
113: Équilibre
124 : Les moulins de l'ivrogne
125 : Orage d'une nuit d'été
126 : Étoiles et planètes
129 : Dans le Bush australien
131 : Lutinville
132 et 133 : Les souris
134 : Champignons
Et si vous ne possédez pas le numéro qui vous intéresse, il est toujours possible de l'acquérir auprès de la boutique de France Patchwork... au prix de 9€, la revue.
Je suis très heureuse d'avoir eu la chance de passer une dizaine de jours avec elle, grâce à Béatrice. Je conserve un excellent souvenir de ces moments conviviaux en compagnie de ces deux Alsaciennes lumineuses, chaleureuses, talentueuses et... pleines d'humour !
Aurons-nous le bonheur de nous retrouver un jour ?
En suivant le chemin qui s'appelle "plus tard", nous arriverons sur la place qui s'appelle "jamais".
Je vais essayer de transmettre ce que j'ai compris.
Contrairement à mes habitudes, cet article est très long mais j'aimerais que vous le lisiez jusqu'au bout.
Je tiens à remercier Marie-Claire Frédéric qui me fait confiance en me permettant de publier cet article et en m'autorisant à utiliser quelques-unes de ses photos.
J'ai pris connaissance de l'autre blog de Marie-ClaireNi cru ni cuitpour me documenter un peu à propos de cette technique toute nouvelle pour moi.
Timidement, j'ai commencé par tester la fermentation peut-être la plus connue, la choucroute.
mais un déplacement à Paris en ce moment n'est pas à l'ordre du jour.
Convaincue par tous ces avantages, tant au point de vue pratique que bénéfique pour la santé, cette année j'ai testé davantage de légumes : céleri, chou rouge, chou-fleur, navet, radis noir, etc.
Quelques-unes des conserves de cette année.
Outre l'aspect esthétique,
j'apprécie le côté pratique, beaucoup plus rapide
et sans utiliser l'énergie.
Les étagères de mon armoire à conserves changent d'aspect...
Le matériel est réduit au minimum : un bon couteau, une râpe ou une mandoline et des bocaux en verre. Quant aux ingrédients, ils se limitent au sel marin le plus naturel possible et une bonne eau de source.
Marie-Claire Frédéric donne d'excellents conseils dans son blog mais elle a aussi publié plusieurs livres dans lesquels elle rappelle l'origine de cette méthode ancestrale.
Son livre de base sans doute... que je vais commander au Pèe-Noël.
La fermentation est utilisée depuis la nuit des temps et a sauvé de la famine de nombreuses populations.
Les chasseurs-cueilleurs du Paléothique faisaient déjà de la fermentation sans le savoir. En effet, ils conservaient de la nourriture dans des fosses ou dans des outres faites avec l'estomac d'un animal.
N'oublions pas que le réfrigérateur n'existe que depuis peu de temps et pourtant il fallait bien conserver les produits du jardin pendant toute l'année.
Alors que nous avons tendance à vivre dans un monde aseptisé, nous avons oublié que microbes et bactéries sont indispensables à la vie.
Nous avons oublié que sans les micro-organismes (les microbes, autrement dit), nous ne serions pas en vie, que sans eux toute vie tout disparaîtrait, et que c'est en les côtoyant (et en les ingurgitant)tous autant qu'ils sont que se forme notre système immunitaire.
Je vous invite à lire cet article de Marie-Claire qu'elle aurait pu intituler, comme elle le dit elle-même: Le Salers de la peur. Il démontre tout à fait l'absurdité de certains « principes de précaution » si à la mode aujourd'hui.
Encore une photo empruntée au blog de Marie-Claire
Sans virus, l'Homme ne serait pas apparu sur Terre !
À l'heure où l'un d'eux perturbe grandement nos habitudes de vie, nous avons quelque peu oublié comment nous protéger simplement en renforçant nos défenses immunitaires.
Ces bocaux ne vous font-ils pas envie? (photo empruntée à Marie-Claire)
La lacto-fermentation serait-elle un atout dans cette lutte ?
Ce processus permet le développement des probiotiques si utiles pour notre flore intestinale.
Je viens de m'offrir le dernier livre de Marie-Claire Frédéric.
Le parcourir m'a permis de mieux comprendre le processus de la fermentation et les règles à respecter pour sa réussite.
Que se passe-t-il lors de la lacto-fermentation ?
Les légumes entassés dans les bocaux sont recouverts de bactéries, levures ou moisissures. Au contact du peu d'oxygène présent dans le bocal, ces micro-organismes, bons ou mauvais, vont se multiplier. Une fois l'oxygène consommé, ils vont secréter des enzymes qui transforment la matière des légumes en provoquant des réactions chimiques favorables à la conservation.Il n'est pas rare d'entendre des sifflements dus au gaz carbonique qui chasse l'air. C'est surtout la formation de l'acide lactique qui, par son acidité, va tuer tous les micro-organismes néfastes.
Dans ce livre, Marie-Claire explique aussi comment procéder
mais surtout comment utiliser ces conserves d'un autre genre
et c'est tout à fait ce que je recherche !
Suri de carottes à l'orange et choucroute de poireaux.
Si vous voulez en savoir davantage, je vous invite à consulter les blogs cités dans ces deux articles. Vous pouvez également acheter un ou plusieurs des livres publiés par Marie-Claire. Mais mon conseil le plus évident, si vous le pouvez, osez pousser la porte du restaurant Suri.
L'un de ces gestes vous réjouira mais aidera aussi Marie-Claire et son équipe à poursuivre leur tâche. La situation actuelle met en péril les restaurants et en particulier celui-ci.
Imaginez-vous le nombre d'heures passées
à préparer tous ces ingrédients puis à les cuisiner et à les servir?
Imaginez-vous le nombre d'heures passées
à concocter un article pour un blog sans publicité et très pédagogique?
Imaginez-vous le nombre d'heures passées
à répondre aux questions des lecteurs?
Imaginez-vous le nombre d'heures passées
à transmettre gracieusement son savoir?
Imaginez-vous le nombre d'heures passées
à faire de belles photos pour mettre en valeur ces aliments?
Imaginez-vous le nombre d'heures passées
à rédiger un, voire plusieurs livres?
Depuis des années, Marie-Claire Frédéric ne compte plus son temps. Elle donne généreusement ses conseils. Avec l'équipe du restaurant, elle met un point d'honneur à satisfaire ses convives. Mais aujourd'hui elle est à la veille de tout arrêter faute de moyens. Pour éviter d'en arriver là, elle s'est résolue à demander de l'aide par l'intermédiaire d'une cagnotte en ligne. Quelque 700 donateurs se sont déjà mobilisés. Il ne reste plus qu'une quinzaine de jours avant l'échéance fatale.
L'équipe du restaurant Suri
Si vous le pouvez, à votre tour, faites un petit geste.