Cette année, la famille Marmotte
participe à ce rendez-vous aux jardins virtuellement.
Je vous invite à me suivre pour visiter nos rosiers.
Notre premier rosier acheté en mai 2011 - grimpant sur l'angle de la maison exposé sud/est : sans doute Papi Delbard – très florifère de mai à La Toussaint.
Une digitale est venue s'installer au pied et le protège des pucerons.
Ce sont ces roses qui me permettent de faire de nombreux bouquets tout l'été. J'aime leur couleur qui varie du presque orange pour les boutons au saumon puis au rose plus pâle lorsque la fleur est entièrement ouverte (ce que ne reproduit pas exactement la photo).
Trois rosiers offerts à Mr Marmotte, en novembre 2011 :
Alain Souchon, magnifiques fleurs rouge pourpre. Planté plein sud au pied du rosier grimpant les fleurs s’abîment toujours très vite. Nous avons choisi de le transplanter sur la façade est. Il n'a pas encore fleuri cette année.
Sweet Love, belles fleurs roses nacrées, planté à l'est.
Je les aime beaucoup dans un soliflore.
Rhapsodie in blue met en valeur Sweet Love par sa couleur bleu/mauve (la photo n'est pas représentative) – petites fleurs en grappes.
Deux rosiers achetés en mai 2013 :
Isabelle Autissier, belles fleurs à couper, saumon avec des nuances jaunes – se développe peu.
Baronne de Rotschild, rosier grimpant à fleurs rose/mauve en bouquets. Transplanté à l'automne 2019, il devient magnifique.
Bataclan, acheté en mai 2019, planté à l'ouest – des roses jaunes impressionnantes qui tiennent longtemps.
Cette année, ses magnifiques fleurs sont attaquées et n'ont plus leur superbe.
Celui que j'avais oublié (étiquette retrouvée) probablement acheté en mai 2015 : Fantin Latour, transplanté à l'automne 2019 et partagé en 2, l'un toujours à l'est et l'autre à l'ouest.
Une fleur rose commence à apparaître.
Ceux dont je ne connais pas le nom :
Celui que j'appelle Jean-Luc, du prénom de celui qui me l'a offert, greffé par ses soins. J'adore ses couleurs panachées, un mélange de rose et jaune. Il fleurit de bonne heure et refleurit plusieurs fois mais il ne se développe pas beaucoup.
Un rosier à fleurs jaunes bordées de rouge qui deviennent roses en fin de floraison. Il fleurit très tôt mais ne se développe pas beaucoup. Probablement acheté en mai 2017 et transplanté à l'automne 2019. Les variations de couleur de ses pétales sont vraiment superbes.
Rosier de Hildesheim, offert par un correspondant allemand de Marmotton qui habite cette ville : rosier buisson très florifère de juin jusqu'à La Toussaint. En boutons, les fleurs paraissent rouges mais la floraison est rose vif.
D'autres rosiers buissons, plantés avec des Acanthes et des Nepetas, autour de la fosse toutes eaux. La floraison dure moins longtemps que le précédent. Ils ne sont pas encore fleuris.
Mes préférés, sentimentalement (parce que offerts par un ami qui les cultivait et les vendait), ces minis rosiers de Bernard qui végétaient en Charente ont trouvé leur terrain favori. Ils prolifèrent au point de devenir grimpants, parfois. Ils se multiplient très facilement. Quelques amis ont le privilège d'en avoir reçu un petit plant en cadeau.
Le dernier né, Pierre de Ronsard, rosier emblématique, offert par Marmotton à noël dernier. Planté à l'est le long du four à pain. Ses premières fleurs sont à la hauteur de mes espérances. Il restera le symbole de cette année 2020 si particulière.
Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avait déclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu cette vêprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vôtre pareil.