7 octobre 2015
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Depuis 7 ans, je fais partie du groupe Gidorchoise dont je vous ai parlé à plusieurs reprises ici ou là.
Cette année, Edith nous avait concocté 2 projets. L’un « Les chemins de la liberté » était basé sur le principe du « chemin des esclaves » ; les participantes devaient créer des blocs qui transmettent un message de liberté.
L’autre « Toute la musique que j’aime », c’est celui que j’ai choisi. Chacune devait choisir un thème ou une chanson et travailler en binôme en réalisant un ouvrage pour elle et un pour sa « jumelle » en fonction du choix fait par l’une et l’autre.
Le but principal c’est surtout de se retrouver pendant un week-end pour échanger nos ouvrages et beaucoup d’amitié depuis tout ce temps.
Vous pouvez trouver des photos de cette rencontre sur les blogs de Carrémentcrazy, Mary Passion Patchwork et sans doute Joelino et Mamounette blabla… bien meilleures photographes que moi !
Je vais seulement vous montrer mes ouvrages.
Ma jumelle, Marie-Claude avait choisi « Le petit joueur de fluteau » de Brassens. J’ai découvert cette chanson et compris que dedans il y avait un contraste entre la richesse proposée par le roi et l’humilité du joueur de fluteau qui préfère son clocher. Assez vite, j’ai pensé que la technique de convergence quilt permettait d’illustrer ce contraste… il fallait alors trouver les tissus tout en utilisant celui envoyé par Marie-Claude (comme le stipule le règlement). Voici mon choix
Il faut ensuite illustrer la chanson. L’an dernier j’avais pris une photo à Ribeauvillé de la statue d’un joueur de flûte. Il ne reste qu’à l’imprimer sur Cotonjet puis l’appliquer au Vliesofix et la broder au point de grébiche.
Elément très important : le château, dans un tissu généreusement offert par Sylvie, appliqué de la même façon.
Autre élément tout aussi important : le village et son clocher seront seulement dessinés, quiltés et rebrodés. Je suis assez contente de ma trouvaille de la fumée qui s’échappe sous forme de portée musicale !
J’aime les dos assortis, mais je n’ai plus beaucoup de tissus. Pourquoi ne pas utiliser tous les restes de façon la plus harmonieuse possible ?
Avec une étiquette bien entendu. Là, je pense aussitôt aux paroles de la chanson imprimée sous forme de parchemin, grâce au papier transfert.
Voici maintenant l’ouvrage que Marie-Claude a réalisé pour elle-même sur cette même chanson.
Rendez-vous demain, pour mes ouvrages.
Publier par leterrierdemarmotte
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dans
Patchwork